Guillaume d’Ockham et la querelle des universaux

Pierre Abélard, Sic et non « L’homme bon sort des choses bonnes du bon trésor de son coeur. » Tout cela étant dit, j’entends bien, comme je l’ai décidé rassembler les divers écrits des saints Pères au fur et à mesure qu’ils me viendront à la mémoire. Certains textes qui apparaissent de prime abord dissonants susciteront des questions. Ils obligeront les lecteurs novices à un exercice de recherche de la vérité et les conduiront à plus d’acuité dans leur enquête. En vérité, la clé primordiale de la sagesse c’est de se poser des questions assidûment et fréquemment. S’emparer de cette clé doit être le souhait ardent des étudiants. Aristote, le plus perspicace des philosophes, les exhorte à le faire et, à propos du « prédicament de relation », il dit ceci : 
« Il est sans doute difficile de trouver une solution à ces problèmes si on ne les a pas, à plusieurs reprises, examinés. Douter de chaque point particulier n’est pas inutile. » 
En effet, en doutant nous venons à chercher et en cherchant nous percevons la vérité. 
C’est aussi ce que dit la Vérité elle-même :
 « Cherchez, dit-elle, et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira…» »

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