Vous avez déjà beaucoup de problèmes. Et en plus, il faut s’occuper des problèmes des autres, parce que les autres ont des soucis terrifiants et que parfois le malheur des autres réussit à nous faire souffrir nous-mêmes. Est-ce une forme de générosité heureuse ou est-ce le signe que nous sommes englobés par tout le malheur du monde ? Faut-il apprendre la compassion, la pitié ? Faut-il être capable de sympathie envers celui qui souffre autour de nous, ou est-il nécessaire de cultiver une saine et sage indifférence pour simplement survivre ? Le malheur des autres est-il vraiment un problème ?